Aujourd'hui, les historiens proposent l'hypothèse que le tombeau était destiné à la famille d'Hélène, reine d'Adiabène, un royaume situé entre l'Assyrie et l'Arménie dont les souverains s'étaient convertis au judaïsme. L'origine de cette identification vient de Flavius Josèphe qui parle du tombeau que Monobaz avait commandé pour sa mère Hélène.
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- Revenue en Adiabène, elle [Hélène] ne survécut guère à son fils lzatès. Monobaze envoya ses os et ceux de son frère à Jérusalem et les fit ensevelir dans les trois pyramides que sa mère avait fait construire à trois stades de la ville. Antiquités juives (XX, 5, 4)
Jérusalem : tombeau des rois de Juda : intérieur de la cour (1856)
Une légende ancienne prétendant que le tombeau abritait un trésor, le gouverneur ottoman de Jérusalem entreprit des fouilles en 1847 qui ne donnèrent rien mais qui endommagèrent beaucoup le site.
Une autre campagne de fouilles eut lieu en 1867 sous la direction de Charles Clermont-Ganneau.
A la fin du XIXe siècle, le site fut l'objet de dévotions de la part des juifs de Jérusalem, pendant les fêtes de Pessah et deHanoucca.
En 1878, le site fut acheté par les frères Pereire afin de le donner au gouvernement français pour le conserver à la science et à la vénération des fidèles enfants d'Israël. Du fait de la législation ottomane qui ne connait pas la personne morale, le site ne fut pas donné à la France, mais directement au consul de France à Jérusalem.
Auguste Salzmann French, 1824-1872 Born into a family of painters in Ribeauvillé, Haut-Rhin in Alsace, Auguste Salzmann exhibited his canvases of landscapes in the Paris Salons of 1847, 1848, and 1850.
This artistic background, along with his distinctive subject matter, contributed to Salzmann's photographic style. His photographs were exhibited only once during his lifetime, at the 1855 Exposition Universelle in Paris.
Primarily interested in archaeology, he belonged to no photographic societies and considered his photographic work merely a tool.
Auguste Salzmann: Jerusalem, Tombeau du Rois de Juda: Fragments d'un sarcophage. 1854, Blanquart-Evrard salt print from waxed paper negative, 9-1/4 x 13-1/4 in. (236 x 337 mm), on original lithographed mount. t1118j.
Salzmann visited Palestine (1850-51) and Jerusalem (1853), combining a project to record the monuments left by the Crusaders with another that tried to prove the work of scholar Louis-Félicien-Joseph Caignart deSaulcy, whose controversial historical and architectural theories involved the dating of buildings within the ancient city.
The resulting images were published by Louis-Désiré Blanquart-Évrard in Jérusalem, époques judaique, romaine, chrétienne, arabe, explorations photographique par A. Salzmann (1854).
In these extremely intense studies, light and form were used to animate the ancient buildings and landscape of the Middle East.
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Auguste Salzmann: St. Sepulchre. 1854, Blanquart-Evrard salt print from waxed paper negative, 13-1/16 x 9-1/4 in. (333 x 236 mm), on original mount. q1450j.
Auguste Salzmann: Jerusalem: Église de Sainte Marie Madeleine. 1854, Blanquart-Evrard salt print from waxed paper negative, 9-1/4 x 12-7/8 in. (235 x 328 mm), on original lithographed mount. r1093.
A journey to Rhodes (185-67) led to another publication, Nécropole de Camiros, which documented a site Salzmann is believed to have discovered. Although much of the biographical information about Salzmann is unclear and remains a subject of debate, his work continues to be influential and admired.
Porte de Damas , vue exterieure
Auguste Salzmann: Porte de David, Jerusalem., Blanquart-Evrard salt print from waxed paper negative, 12-7/8 x 9-1/8 in. (328 x 232 mm), on original lithographed mount. z1038.
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